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100% créateurs ou 100% responsables ?

" Je n'arrive pas à intégrer la méthode Ho'oponopono, car je ne peux admettre avoir créé la mort de l’être que j'aimais le plus au monde.
 J’ai lu plusieurs ouvrages sur Ho’oponopono et je bloque sur une maxime maintes fois répétée ‘nous sommes créateurs à 100% de ce qui nous arrive’, entièrement d'accord avec cela pour la santé, le matériel, les relations humaines, mais face à la mort ? "



L'incontrolable Dans le Ho’oponopono, il est dit que nous sommes 100% responsables de nos actions et que nous créons notre existence avec nos mémoires. C’est pour cela que je préfère utiliser les mots « Responsabilité créative ». La mort fait partie des événements que vous ne pouvez contrôler. Vous ne pouvez contrôler le cycle du jour et de la nuit, vous ne pouvez contrôler les pensées de vos proches. La seule chose qui est certaine par rapport à la mort, c’est qu’un jour cela arrivera, pour chacun d’entre nous.


Votre responsabilité

Maintenant, votre responsabilité est de savoir ce que vous faites du temps que vous avez à vivre. Et vous êtes la créatrice et le créateur de votre existence par votre réaction face à ce qui vous arrive. C’est pour cela que je parle de responsabilité créative, c’est-à-dire que vous créez votre existence à partir de vos actions et de vos réactions.


Le détachement

Vous pouvez décider de chercher à maîtriser l’incontrôlable, comme la mort d’un proche, et ensuite souffrir de votre impuissance face à cet événement. Ou bien, vous décidez de revenir en vous, de vous aligner avec votre être profond pour vous détacher des émotions difficiles qui vous envahissent, c’est ce que permet la pratique du Ho’oponopono. Le détachement face aux émotions va vous permettre d’accueillir l’événement, de l’intégrer pour ensuite le transformer, comme en faisant ce que cette personne qui est décédée, aurait aimé vous voir accomplir.


La paix du cœur

De plus,  vous n’avez pas à « vous remettre » du décès de votre enfant, de votre conjoint ou d’un parent. Il est tout à fait normal d'être blessé-e et triste. Vous avez surtout à apprendre à vivre sans cette personne, et à le faire dans la paix du cœur. C’est aussi ce que vous permettent d’accomplir les mots du Ho’oponopono.

Nathalie Lamboy








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